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Toutes mes idées proposées au débat national sur la transition énergétique

samedi 22 juin 2013, par Emmanuel HOURDEQUIN

En ce moment a lieu un grand débat national sur la transition énergétique (DNTE). Vous pouvez y participer en publiant vos idées ou vos initiatives sur le site officiel du gouvernement et/ou en votant pour des idées ou les initiatives que vous soutenez (en cliquant sur le pouce levé). Je vous livre ce que j’ai appris grâce à mes études universitaires de physique et de chimie mais je sais que ça ne pèsera pas grand chose face aux intérêts financiers des lobbys industriels pétroliers et nucléaires qui trichent en externalisant les coûts des nuisances des pollution qu’elles engendrent en impactant la santé publique de la collectivité présente et future (effet de serre par CO2 et CH4, pollution de l’air par les pots d’échappement et leur lot de particules fines et de composés aromatiques polycycliques cancérigènes, nuisances sonores, pollution de l’eau, pollution de la terre, de la nourriture par les pesticides, les PCB, les nitrates, les métaux lourds, les matières plastiques, les fuites radioactives, les OGM, etc.), mais c’est le moment ou jamais de s’exprimer puisque le gouvernement nous y invite. Alors si vous appréciez mes idées et mes initiatives, n’hésitez pas à les soutenir en votant pour elles.

http://www.transition-energetique.gouv.fr. SITE EFFACÉ

DNTE_synthese_contri­butions_individuelle­s_19-06-2013_complet_def_web­.pdf

PDF - 1.7 Mo

Voici mes articles :

http://www.transition-energetique.gouv.fr/search/content/hourdequin SITE EFFACÉ

0- Le vélo électrique (initiative n°1 dans le débat national sur la transition énergétique proposée le 28/02/2013) http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-initiatives?page=4 SITE EFFACÉ

Décrivez succinctivement votre initiative

J’ai décidé de me rendre à mon travail en vélo électrique.

Quelles ont été vos motivations de départ ?

Ne pas polluer l’air avec une voiture diesel.

Quels obstacles avez-vous rencontrés ?

Prix (2400 euros), subventions faibles (200 euros par Nantes Métropole). J’aurais eu 300 euros de subventions par Nantes Métropole si l’Académie de Nantes avait signé un "plan de mobilité" avec Nantes Métropole, ce qui n’est pas encore le cas. J’ai essayé de demander à l’Académie de Nantes de signer ce plan mais c’est très lent (6 mois et ça ne bouge que très peu).

-  C’EST FAIT, LE RECTORAT A SIGNÉ LE 01/02/2014 LE PLAN DE MOBILITÉ DE NANTES MÉTROPOLE ET J’AI PU BÉNÉFICIER D’UNE SUBVENTION DE 300 EUROS. SACHEZ QUE TOUT EMPLOYÉ (ENSEIGNANT COMME NON ENSEIGNANT) DE L’ACADÉMIE DE NANTES PEUT EN BÉNÉFICIER. JE TIENS À REMERCIER ICI TRÈS CHALEUREUSEMENT LE RECTORAT DE NANTES (MME CAROLE BRECHET, MONSIEUR LE RECTEUR WILLIAM MAROIS) ET NANTES MÉTROPOLE (MME BÉATRICE RENAUD, MME ÉLODIE ROBERT ET MME JOHANNA ROLAND PRÉSIDENTE DE NANTES MÉTROPOLE).

Quelles ressources avez-vous mobilisées autour de vous ?

Contacts avec le Rectorat, contacts avec le Proviseur de mon Lycée

Vos propositions afin de permettre une reproductibilité pour le plus grand nombre

Il faudrait aider fiscalement les gens qui vont au travail en vélo comme on aide ceux qui polluent avec leur voiture (frais réels). Où plutôt, il faudrait moins subventionner les pollueurs et redonner cet argent à ceux qui ne polluent pas avec un vélo, un vélo électrique, un scooter électrique, une voiture électrique. Il faudrait aussi que l’État subventionne l’achat des vélos électrique en plus des subventions des collectivités locales. Il faudrait que les Académies aident les employés, les professeurs et les élèves à l’achat de scooters et de vélos électriques. Il faudrait que l’État aide les lycées à installer des panneaux solaires pour alimenter gratuitement les véhicules électriques (et les ordinateurs) de tous les usagers du lycée ou du collège. E.H.

1 - Gaz de schiste à proscrire totalement (écrit le 28/02/2013 page 44 des contributions http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-idees?page=44) SITE EFFACÉ

Le gaz de schiste est à PROSCRIRE ABSOLUMENT car c’est une énergie fossile qui va contribuer au réchauffement climatique. C’est donc inutile de sacrifier l’environnement et d’investir de l’argent pour l’extraire (et payer des produits chimiques très polluants) sachant qu’il sera responsable de l’augmentation du réchauffement climatique et qu’il viendra rapidement à s’épuiser contrairement à l’énergie renouvelable. Après, il sera impossible de nettoyer et de réparer les dégâts occasionnés. IL FAUT ABSOLUMENT RESISTER AU LOBBIE PÉTROLIER car ce serait contraire aux intérêts généraux de l’humanité. E.H.

http://www.transition-energetique.gouv.fr/content/gaz-de-schiste-proscrire-totalement SITE EFFACÉ

2 - Subventionner la mobilité électrique, ne pas subventionner la pollution chimique et sonore des moteurs thermiques (écrit le 28/02/2013 page 44 des contributions http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-idees?page=44) SITE EFFACÉ

Je vais au travail en vélo électrique et je ne reçois aucune aide de l’État ni aucune aide de mon employeur (Académie de Nantes). Il faudrait arrêter de subventionner les modes de déplacement polluants (frais réels) et subventionner les modes de déplacement non polluants (vélo, vélo électrique, scooter électrique, voiture électrique), y compris pour des élèves et étudiants d’un établissement scolaire (collège ou lycée). Cela permettrait le développement de modes de déplacement respectueux de l’environnement (lutte contre la pollution de l’air des villes par les particules fines et contre la pollution sonore). Il faudrait aussi que les transports en commun soient électriques. Il faudrait que les remboursements partiels des frais de transport par les employeurs soient moins importants lorsque le moyen de transport ne favorise pas l’environnement (moteur thermique) et plus important lorsqu’il favorise l’environnement (moteur électrique). Bien entendu il faut alimenter tous ces moteurs électriques par de l’énergie renouvelable (panneaux photovoltaïques et éoliennes) et pas nucléaire. E.H.

http://www.transition-energetique.gouv.fr/content/subventionner-la-mobilite-electrique-ne-pas-subventionner-la-pollution-chimique-et-sonore SITE EFFACÉ

3 - Nucléaire (écrit le 28/02/2013 page 44 des contributions http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-idees?page=44) SITE EFFACÉ

Il faudrait connaître le prix exact du nucléaire prenant en compte le prix des centrales, du démantèlement et le prix de gestion des déchets nucléaires sur des millions d’années (plus le prix de "réparation" sanitaire d’une catastrophe type Fukushima sur le territoire français) ainsi que le coût recherche développement dans le secteur du nucléaire. Il faudrait comparer ce prix aux bénéfices réalisés par EDF par la vente de l’électricité nucléaire à ses clients. Il faudrait DIRE CLAIREMENT LA VÉRITÉ AUX FRANÇAIS sur cette question, en arrêtant de les prendre pour des demeurés. Il faudrait également comparer les investissements de l’État Français sur les différentes filières ces 50 dernières années et faire un comparatif de l’argent investi dans la recherche sur l’énergie renouvelable (solaire, éolien, hydrolien, stockage de l’énergie renouvelable, biomasse) par rapport à celui investi dans le nucléaire. On constaterait qu’il serait grand temps de rééquilibrer en faveur des énergies renouvelables et que nous avons pris déjà une bonne trentaine d’années de retard par rapport à l’Allemagne et aux autres pays d’Europe du Nord. Mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. E.H.

http://www.transition-energetique.gouv.fr/content/nucleaire-3 SITE EFFACÉ

4 - Interdiction des pots d’échappement. Donner des panneaux solaires pour recharger les voitures électriques. Pollueur-payeur, pollueur-prison (écrit le 04/03/2013 page 43 des contributions http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-idees?page=43) SITE EFFACÉ

42000 morts par an à cause de la pollution de l’air, c’est CRIMINEL. Il faudrait interdire immédiatement les pots d’échappement (essence et diesel) en ville. NE RIEN FAIRE EST UNE COMPLICITÉ DE CRIME CONTRE L’HUMANITÉ. Des solutions techniques existent : LA VOITURE 100% ELECTRIQUE(SANS POT D’ÉCHAPPEMENT).

FUKUSHIMA AUSSI EST UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ ET CONTRE L’ENVIRONNEMENT.

IL FAUT DONNER AUX GENS DES PANNEAUX SOLAIRES MADE IN FRANCE POUR QU’ILS PUISSENT RECHARGER LEUR VOITURE GRATUITEMENT, SANS UTILISER L’ÉLECTRICITÉ NUCLÉAIRE.

POLLUEUR PAYEUR ET POLLUEUR PRISON. NON SEULEMENT IL FAUT UNE FISCALITÉ ENVIRONNEMENTALE MAIS IL FAUT AUSSI UNE VRAIE JUSTICE DE L’ENVIRONNEMENT POUR PUNIR LES CRIMES CONTRE L’ENVIRONNEMENT, LES CRIMES CONTRE LA BIODIVERSITÉ ET PAR CONSÉQUENT LES CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ.

Quand l’humanité est en danger, c’est aux politiques de la protéger avec l’aide des SCIENTIFIQUES et peu importe le mécontentement des banquiers des économistes et des industriels. C’est à l’échelle de la planète toute entière que l’on doit agir avant qu’il ne soit trop tard. E.H.

http://www.transition-energetique.gouv.fr/content/interdiction-des-pot-dechappement-donner-des-panneaux-solaires-pour-recharger-les-voitures SITE EFFACÉ

5 - Transition énergétique et changement de paradigme. Nécessité de faire la distinction entre la bonne et la mauvaise croissance. Ne plus faire confiance aux économistes, banquiers, lobbys mais écouter les scientifiques lorsqu’ils nous alarment... (écrit le 18/03/2013 page 40 des contributions http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-idees?page=40) SITE EFFACÉ

Les économistes et les banquiers ne comprennent rien aux intérêts généraux. Ils ne s’intéressent qu’aux intérêts particuliers, sans aucune vision d’avenir. Tant que ceux-ci (et beaucoup trop d’hommes politiques qui les écoutent) seront aveuglés par la sacro-sainte croissance sans distinguer la bonne croissance de la mauvaise, cela génèrera la pollution de l’air, de l’eau, du sol, la radioactivité, les guerres (du pétrole, de l’uranium, de l’eau potable), la crise économique et sanitaire dans laquelle nous sommes plongés depuis 1974 (soit presque 40 ans) et, à terme, nous serons tous perdants.

On perd plus que l’on ne gagne car les profits sont confisqués par quelques individus et les coûts environnementaux, de santé publique et le chômage (bien supérieurs aux profits) sont payés (en argent) par la collectivité présente et future et en nature par tous les cancéreux et tous les pauvres du monde entier qui reçoivent nos déchets industriels toxiques et radioactifs.

Par exemple quand nos centrales nucléaires rapportent un milliard d’euros à l’EDF, il en coûtera mille fois plus (1000 milliards d’euros) à la collectivité et aux générations futures (investissement recherche, travaux d’entretien des centrales, démantèlement des centrales, gestion des déchets radioactifs sur plusieurs millions d’années, soin des cancers ainsi que préjudice moral (à condition qu’il n’y ait pas d’accident majeur type Fukushima en France).

C’est exactement pareil pour le réchauffement climatique et la pollution de l’air des villes qui coûtera, à notre collectivité présente et future beaucoup plus que les bénéfices de Total (notre champion français avec ses 12 milliards d’euros en 2012). À +2°C en 2024 et +4°C en 2060, le coût collectif pour les français sera de l’ordre de 50 milliards d’euros par an, en allant crescendo, à cause des cancers, des maladies tropicales, des guerres, de la sécheresse, des inondations des villes côtières et des centrales nucléaires proches de la mer (à cause de l’élévation du niveau de la mer), de la destruction des infrastructures par les ouragans, de l’accueil des réfugiés climatiques, de l’extinction des espèces animales et végétales, etc.

POLLUER EST CRIMINEL. LES POLLUEUR DOIVENT PAYER. ILS DOIVENT ÊTRE PUNIS D’EMPRISONNEMENT ET PUNIS DE LOURDES AMENDES POUR CRIME CONTRE L’ENVIRONNEMENT ET POUR CRIME CONTRE L’HUMANITÉ AFIN QU’ILS NE RECOMMENCENT PAS ET AFIN DE FAVORISER UNE BONNE CROISSANCE (VERTUEUSE) OÙ LES BÉNÉFICES (EMPOCHÉS PAR DES PERSONNES PRIVÉES) SONT SUPÉRIEURS AUX COÛTS (DÉBOURSÉS PAR LA COLLECTIVITÉ) ET C’EST TOUT À FAIT POSSIBLE À CONDITION DE POLLUER BEAUCOUP MOINS QUE MAINTENANT.

Il faut taxer et punir les industriels et les financiers du monde entier qui polluent et financent la pollution. Il faut taxer les transactions financières, plus particulièrement toutes celles qui contribuent à financer la pollution. Il faut que les collectivités (les états) cessent de subventionner la pollution et cessent d’être soumis aux lobbys (pétrolier, nucléaire et automobile) car les politiques ont comme devoir de protéger la santé des citoyens qui les ont élus. Dans les conflits d’intérêts, c’est la santé publique qui devrait toujours l’emporter et ce n’est pas le cas. Ne pas pouvoir respirer un air sain, boire une eau saine et manger une nourriture saine ne donnant pas le cancer est contraire aux droits de l’homme et c’est un crime contre l’humanité puisque la responsabilité des pollueurs est engagée.

ON A TOUT INTÉRÊT À ÉCOUTER LES GRANDS SCIENTIFIQUES (CLIMATOLOGUES, MÉDECINS, CANCÉROLOGUES, BIOLOGISTES, ÉCOLOGUES, PHYSICIENS, CHIMISTES, MATHÉMATICIENS, ETC.) LORSQU’ILS NOUS AVERTISSENT DE PÉRILS GRAVES QUI NOUS MENACENT. IL FAUT ACCEPTER TOUTES CES VÉRITÉS QUI DÉRANGENT, NE PAS PASSER DU DÉNI AU DÉCOURAGEMENT MAIS AGIR AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD.

Eux seuls peuvent mesurer, prévoir, anticiper, chiffrer les coûts des pertes engendrées par les pollutions et le réchauffement climatique. Eux seuls, avec leurs appareils de mesure, leurs modèles théoriques et leurs simulations numériques peuvent prévoir l’avenir dans 50 ou 100 ans. Les économistes ne voient que le profit immédiat comme les financiers qui jouent tous les jours à la roulette du casino (Wall Street, La City, CAC 40) à coup de milliards de transactions virtuelles par seconde avec un gaspillage monumental de ressources informatiques et d’énergie électrique pour rien (sauf pour faire grossir les plus gros qui ne le sont que trop), c’est pathétique et écoeurant. Sans les scientifiques, nous ne pourrons pas faire notre transition énergétique vers des énergies renouvelables, les seules aptes à préserver notre environnement.

Il faut changer notre société de consommation frénétique, du gaspillage, de l’énergie fossile, des déchets (obsolescence programmée) de l’égoïsme et du repli sur soi pour aller vers une société de la sobriété, de l’énergie renouvelable, du recyclage et du partage. Pour l’instant les économistes sont au service de la cupidité de quelques uns. Les hommes sont au service de l’argent alors que l’argent devrait être au service de l’homme et de la survie de l’humanité sur sa planète.

Nous sommes en train de sacrifier nos santés, celle des pauvres, celle de nos enfants celles des générations futures sur l’autel du dieu Argent et de ses fidèles serviteurs (Goldman Sachs, lobby pétrolier, lobby chimique, lobby nucléaire, lobby des armes, mafias de la drogue, paradis fiscaux, boursicoteurs de haut niveau, etc.). Nous n’avons qu’une seule Terre et aucune planète de rechange. Nous ne devons pas faire comme si nous en avions cinq ou dix. Nous ne sommes pas les propriétaires de la Terre, nous n’en sommes que les locataires. À la sortie, nous devons la laisser dans un état au moins aussi bon que celui dans lequel nous l’avons trouvée à l’entrée. Il faut changer de paradigme.

Les économistes seuls, nous envoient droit dans le mur. Pour défendre les intérêts généraux, il faut que la volonté politique l’emporte sur les intérêts privés (lobbys) pour orienter l’économie avec l’aide du peuple et de ses scientifiques (français et tous ceux de la communauté scientifique internationale) vers une croissance vertueuse et durable qui pollue beaucoup moins et où la transition énergétique vers les énergies renouvelables n’est qu’une étape incontournable. Si nous ne changeons rien, nous sommes perdus, l’humanité est fichue car c’est une question de survie, une question scientifique et morale dépassant largement la couleur politique des dirigeants, l’économie, les lobbys industriels, l’argent et la frontière de la France et de l’Europe, et de toutes les grandes puissances mondiales (États-Unis, Japon, Chine, Inde, etc.). E.H.

http://www.transition-energetique.gouv.fr/content/transition-energetique-et-changement-de-paradigme-necessite-de-faire-la-distinction-entre-la SITE EFFACÉ

6 - Constats et propositions pour lutter contre le réchauffement climatique grâce à la transition énergétique (écrit le 22/06/2013 page 3 des contributions http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-idees?page=3) SITE EFFACÉ

- Le réchauffement climatique s’aggrave (voir le rapport de juin 2013 de la banque mondiale) on parle de +4°C en 2050 au lieu de +2°C ;

- Les scientifiques ne sont pas écoutés alors qu’ils nous avertissent depuis plus de 30 ans que l’homme est à l’origine du réchauffement climatique et qu’il n’y a rien de bon à attendre si on continue comme cela (ils sont donc méprisés du public, des décideurs politiques et des lobbies industriels et financiers polluants alors que sans les scientifiques ces industriels n’auraient pas pu gagner la puissance financière qui leur permet maintenant de coincer la collectivité dans leur piège) ;

- La terre est une planète finie ne disposant pas de ressources infinies ; Nous ne savons pas transformer nos déchets en nutriments comme sait le faire la nature (déchets nucléaires, CO2, PCB, plastique, nitrates, pesticides, médicaments éliminés dans les urines, métaux lourds, etc...) et la Terre a beau être grande, leur concentration augmente sans cesse et les générations passées, présentes et futures en payent mathématiquement les conséquences et le prix à payer n’ira qu’en augmentant si nous ne changeons rien ;

- Aucune distinction n’est faite entre la mauvaise croissante (carbonée et nucléaire) polluante qui coûte à la collectivité beaucoup plus qu’elle ne rapporte et la bonne croissance, moins polluante, non basée sur la consommation d’énergies fossiles ;

- Rien n’est fait contre la pollution de l’air des villes par les diesels alors qu’il nous en coûte 42000 morts par an, du même ordre de grandeur que le tabac (OMS 12 juin 2012) ;

- Il n’y a aucun respect des biens communs que sont l’eau, l’air, la terre, la santé publique qui pollués (par les particules fines, les pesticides, les médicaments et le plastique entrant dans la chaîne alimentaire, etc.) provoquent le cancer ;

- L’état étant en déficit chronique (car il subventionne la pollution et ne fait pas payer les pollueurs), « on  » (les pollueurs impunis) veut privatiser nos hôpitaux publics, nos établissement publics d’enseignement et de recherche alors qu’on a besoin de scientifiques, de médecins, de juristes protecteurs de l’environnement pour essayer de soulager la population des dégâts de la pollution. « On » demande que ces services publics fassent du profit immédiat sous peine de disparaître pour être privatisés alors que leur rôle est de soulager la population et de préparer l’avenir en gardant la liberté de sortir de la crise écologique (l’investissement à long terme pour la préservation de nos conditions de survie sur notre planète ne doit pas être confondu avec des dépenses car il coûte moins à long terme que de ne pas le faire sachant que le court-terme n’est qu’un instrument d’enrichissement personnel au détriment de la collectivité qu’on envoie droit dans le mur) ;

- On privatise les biens collectifs comme l’énergie, l’eau, l’éducation, la santé, la recherche alors que ce ne sont pas des produits de consommation à valeur marchande comme les autres : la santé, le savoir, la nature sont des biens inestimables qui n’appartiennent à personne (pas plus à nous qu’aux générations passées et futures et pas moins aux autres espèces vivantes nécessaires à la survie de l’homme) et pour lesquelles la collectivité (donc l’État) doit se porter garante afin d’assurer sa préservation pour le bien de l’humanité et pour garantir sa souveraineté et par conséquent sa liberté ;

ON NE PEUT PLUS ET ON NE DOIT PLUS CONTINUER COMME CELA, UN CHANGEMENT DE PARADIGME EST NÉCESSAIRE :

- Écouter les scientifiques et entendre leurs arguments lorsqu’ils nous avertissent d’un danger. La collectivité doit pouvoir surveiller les activités industrielles comme on surveille le lait sur le feu pour éviter les débordements. Il faut utiliser la méthode scientifique et ses mesures objectives pour assurer la surveillance de la pollution et trouver des méthodes permettant de transformer nos déchets en nutriments. Des scientifiques indépendants des lobbies industriels devront jouer un rôle de conseil et d’expertise vis à vis du pouvoir pour préserver les ressources naturelles appartenant à la collectivité (création d’un Laboratoire Interdisciplinaire de Préservation du Climat, des Ressources Naturelles et de la Santé Publique LIPCRNSP) ;

- Il faudra que les scientifiques soient invités à expliquer mieux leurs travaux et exposent clairement les problématiques du réchauffement climatique, des épidémies de cancer à cause de la pollution par un langage simple sur tous les médias, à la télévision, à la radio, aux heures de grande écoute et non seulement faire des publications scientifiques dans des revues spécialisées destinées à d’autres scientifiques. Il faudra que le pouvoir politique ait un meilleur niveau scientifique (formation scientifique à l’ENA ou plus de scientifiques en politique) ;

- Nécessité d’arrêter de produire des déchets qui ne pourront jamais être détruits (déchets nucléaires de vie moyenne et longue) qui risquent à plus ou moins long terme de se retrouver dans l’environnement, dans la chaîne alimentaire et dans nos organismes et entre les mains des terroristes, ce qui revient après Tchernobyl et Fukushima à l’arrêt immédiat du nucléaire civil et au redéploiement des financements vers le démantèlement et les énergies renouvelables, beaucoup moins risquées car il est plus que grand temps d’arrêter les dégâts ;

- Taxe carbone (CO2 fossile) digne de ce nom au niveau International, Européen et Français ;

- Taxe pollution pour chaque polluant contre lequel on veut lutter (nitrate, pesticide, PCB, particule fine, oxydes d’azote, oxyde de soufre, tous gaz à effet de serre comme le méthane CH4 ou le protoxyde d’azote N2O, etc., à faire évoluer en fonction des connaissances scientifiques sur le sujet) ;

- Taxation alourdie des pollueurs au niveau International, Européen et Français ;

- Peines de prison alourdies pour les pollueurs par un durcissement des lois Internationales, Européennes et Françaises de protection de l’environnement ;

- Remise en question de la propriété privée sur les biens collectifs et trans-générationnels comme la nature, les plantes, les hydrocarbures, l’eau, l’air au niveau mondial, Européen et Français (faire évoluer le code minier, le droit de propriété du sol et du sous-sol, interdire le dépôt de brevets sur les organismes vivants, interdire le dépôt de brevet sur les technologies non polluantes préservant l’environnement donc l’intérêt collectif et saisir tous ceux qui ont été rachetées par les pollueurs pour continuer à polluer car tout cela n’a jamais eu ni n’aura jamais aucun sens) ;

- Lutte contre les paradis fiscaux qui sont un manque à gagner pour lutter contre la pollution et la mafia de la pollution, et autres... au niveau International, Européen et Français ;

- Taxation de toutes les transactions financières, avec un niveau particulièrement relevé pour toutes celles provoquant la pollution (lobbys pétroliers) ;

- Arrêt de la subvention de la pollution par l’État (taxation du kérosène, du gazole et de l’essence au même niveau, supérieur au niveau actuel pour dissuader d’utiliser des moteurs thermiques à faible rendement et générateur de CO2) avec une harmonisation Européenne et Internationale ;

- Arrêt des droits à polluer (type crédits carbone du protocole de Kyoto), remplacement par une taxation directe de la pollution ;

- Taxation des importations non respectueuses de l’environnement (taxe carbone, taxe pollution, taxe gaspillage) ;

- Banques mutuelles appartenant à la collectivité permettant placer son argent pour financer des installations de production d’énergies renouvelables (solaire thermique et photovoltaïque, éolien, biogaz, algues, énergies marines) appartenant à la collectivité, permettant de créer des emplois, de s’auto-financer et d’assurer un taux supérieur ou égal à celui du livret A (1,75%) garanti par l’État grâce aux amendes infligées aux pollueurs, à la taxation des transactions financières favorisant la pollution et à la lutte contre les paradis fiscaux ;

- La banque publique d’investissement (bpifrance) est conçue comme l’outil d’une nouvelle politique de financement de l’économie, au service de l’économie réelle, elle doit soutenir la transition énergétique et soutenir les banques mutuelles pour que le domaine de l’énergie reste une propriété de la collectivité ;

- Sortie immédiate du nucléaire à cause de la pollution des déchets nucléaires, des risques d’accident nucléaire, des coûts cachés et énormes de démantèlement et de la gestion des déchets sur des milliards d’années payés par la collectivité (générations futures) car ni les exploitants ni les assureurs n’ont pas assez d’argent pour payer et ce n’est donc pas du tout rentable du point de vue collectif ;

- Développement massif des énergies renouvelables marines (usines à vagues, hydroliennes, éoliennes off-shore, usines marée-motrices, algues pour fabriquer des hydrocarbures en consommant du CO2) ;

- Développement massif du biogaz ;

- Développement massif du solaire ;

- Développement massif des véhicules électriques à énergie renouvelable ;

- Abandon des machines thermiques (convertisseurs non réversibles) car l’amélioration du rendement des machines (convertisseurs réversibles remplaçant les convertisseurs non-réversibles) est une nécessité. Les convertisseurs non-réversibles dégradent l’énergie noble en chaleur comme toutes les machines thermiques, ce qui cause l’irréversibilité de la conversion et le faible rendement de conversion car en vertu du principe de Carnot, on ne peut pas réanoblir 100% d’énergie dégradée en énergie noble, le prix à payer est la transmission d’une grande partie (70% environ ) de la chaleur venant de la source chaude vers la source froide pour anoblir, c’est à dire transformer en travail 30% environ, au mieux, de l’énergie. C’est la cas dans tous les moteurs thermiques et aussi dans toutes les centrales thermiques conventionnelles ou nucléaires qui gaspillent plus des 2/3 de l’énergie de leur combustible en chaleur (absurdité des moteurs thermiques en ville qui servent plus à chauffer l’air qu’à avancer, surtout en cas d’embouteillages où le rendement est nul, ce qui est inhumain en cas de canicule pour les piétons, cyclistes et riverains soumis aux nuisances sonores, chimiques et thermiques). En plus du gaspillage, cette chaleur à évacuer demande des systèmes de refroidissement très efficaces dont la destruction rend la machine vulnérable (Fukushima, problème des pompes diesel du circuit de refroidissement immergées par le Tsunami, problème de refroidissement des centrales en cas de canicule, lorsque le niveau des rivières est faible), ce type de machine est incompatible avec le réchauffement climatique car elles chauffent alors qu’il fait trop chaud et produisent des gaz à effet de serre responsable du réchauffement climatique (sauf pour les centrales nucléaires, mais elles produisent des déchets nucléaires radioactifs indestructibles qui chauffent encore pendant des milliers d’années après leur production pour rien, d’ailleurs les cœurs des centrales de Fukushima chauffent encore et on est obligés de continuer à les refroidir avec le risque de contamination de l’eau extrêmement radioactive que cela représente) ;

- Développement des piles à combustible transformant de manière réversible l’énergie chimique en énergie électrique, à intégrer dans des voitures électriques pour diminuer la consommation et passer en dessous de 1L/100 km de biocarburant (pour les piles à hydrogène, interdire la fabrication d’hydrogène à partir d’hydrocarbures fossiles mais n’autoriser que l’hydrogène venant de l’énergie renouvelable avec l’électrolyse ou à partir du biogaz ou des biocarburants de 2ème - parties non-nobles des plantes - ou 3ème génération - micro algues -) ;

- Développement des batteries et des super-condensateurs au graphène biodégradable pour alimenter et recharger rapidement les voitures électriques ;

- Développement des bâtiments autonomes en énergie, producteurs d’énergie (panneaux solaires photovoltaïques et thermiques, isolation) aussi bien pour les maisons individuels que collectifs privés et publics (mairies, écoles, collèges, lycées) ;

- Ne plus autoriser les grandes surfaces commerciales à ne pas mettre de panneaux solaires sur leurs toitures et sur leurs parkings et à ne pas bien isoler leur magasin et les taxer jusqu’à ce qu’ils le fassent pour les anciens magasins ;

- Développer le réseau de prises de courant pour recharger les voitures électriques ainsi que les stations services électriques solaires (d’ailleurs des stations reliés à des centrales solaires appartenant à la collectivité financées par des banques mutuelles) ;

- Interdire le gaz de schiste car ce n’est pas de l’énergie renouvelable et parce que ça pollue trop.

http://www.transition-energetique.gouv.fr/content/constats-et-propositions-pour-lutter-contre-le-rechauffement-climatique-grace-la-transition SITE EFFACÉ

7 - Vrai et Faux prix du kWh (écrit le 10/07/2013 page 1 des contributions http://www.transition-energetique.gouv.fr/les-idees?page=1) SITE EFFACÉ

Suite à la bien triste éviction de Delphine Batho (un an après celle de Nicole Brick) à qui je voudrais dire mon profond respect, on voit ressurgir le lobby nucléaire dans ce débat sur la transition énergétique (Alfred LEPINGOUIN et GeoffreyH, 7 et 8 juillet 2013).

Je tiens à dire et à répéter ici que l’argument du bas coût de l’énergie nucléaire est complètement fallacieux car ce que l’on paye ne correspond qu’à une infime partie du vrai prix, le reste, à plus de 99% étant à la charge de la collectivité présente et future. Le nucléaire est irréversible et toute décision en sa faveur sera lourde de conséquences et il faut bien réfléchir avant de faire une grosse bêtise (et organiser un référendum sur cette question car le peuple est concerné et souverain). Les Allemands ont peut-être de bonnes raisons d’avoir choisi de sortir du nucléaire, même si c’est une décision très courageuse et très difficile compte-tenu du retard pris, particulièrement en France sur les autres technologies. Leur questionnement (et leur réponse) mérite le respect.

Voici ce qui va coûter très cher et qui n’entre pas dans le prix du kWh nucléaire :

- démantèlement des centrales (payé par la collectivité) ;

- gestion des déchets qui représentent 2 kg par an et par habitant (payé par la collectivité) ;

- risques d’accident non nul comme Tchernobyl et Fukushima (payé en argent et en nature avec les cancers par la collectivité car non assuré) ;

- risques de contamination de la chaîne alimentaire avec des déchets de durée de vie pouvant aller jusqu’à plusieurs centaines de milliers d’année ou milliards d’années pour les actinides (24300 ans pour le plutonium-239, 80,8 millions d’années pour le plutonium-244, 710 millions d’années pour l’uranium-235, 4,5 milliards d’années pour l’uranium-238, 14 milliard d’années pour le thorium-232) encore une fois payé par la collectivité sur plusieurs centaines de générations (payé en argent et en nature avec les cancers par les générations présentes et futures) ;

- difficultés de gestion et de traçage de tous ces déchets par des centaines de générations avec des risques non nuls de détournement (mafias terroristes), de contamination, de fuites, avec une probabilité augmentant mathématiquement avec la durée de vie et la quantité de déchets (la destruction des déchets par transmutation dans des accélérateurs de particules coûterait 1000 fois plus d’électricité que l’électricité produite lors de la fabrication de ces déchets et le volume traité serait infime par rapport au volume produit, ce qui les rend, en pratique, indestructibles) ;

- Recherche / développement dans le secteur du nucléaire civil (payé par la collectivité) ;

- prolongation de la durée de vie des centrales (payé par la collectivité) ;

- construction de nouveaux EPR (surcoût payé par la collectivité) ;

- tous ces problèmes seront amplifiés et multipliés si on dissémine nos centrales et tous les problèmes qui vont avec, à travers le monde en les vendant partout et à n’importe qui, comme des petits pains ;

Avec l’énergie renouvelable, au contraire, le prix du kWh intègre la totalité du coût et c’est une technologie réversible, à savoir que si les générations futures ne veulent plus de nos éoliennes ou de nos panneaux solaires, ils peuvent les démonter et recycler les matériaux alors que ce n’est pas du tout le cas du nucléaire, irréversible par nature :

- on ne maîtrise pas vraiment la technique de destruction de gros murs de béton armé et de cuves en acier faits pour résister à la pression et à la température régnant dans le cœur ainsi qu’à une explosion ou à un tremblement de terre à l’image de la base sous-marine de Saint-Nazaire et de tous les bunkers allemands que l’on voit par centaines sur nos côtes atlantiques parce que tout cela coûte trop cher, que c’est bien trop difficile à enlever, que ce serait à la charge de la collectivité et que nous sommes endettés jusqu’au cou ;

- en plus, tous ces matériaux sont hautement radioactifs (contrairement aux bunkers allemands) et quand bien même on arrivait à tailler tout ça en pièces sans se prendre un maximum de radiations, on ne saurait que faire des morceaux radioactifs ni de l’uranium et du plutonium et autres actinides produits.

Donc c’est comme-si on nous demandait de choisir entre acheter une caravane neuve à 20 000 € et une maison neuve à 10 000 € avec son terrain. Il est évident que tout le monde choisirait la maison à 10 000 € parce que c’est beaucoup plus confortable et deux fois moins cher que la caravane. Sauf qu’en vrai, la maison ne coûte pas 10 000 € mais plutôt 500 000 € (50 fois plus cher). Qui payera les 490 000 € manquants ? Il faut-être bien naïf pour penser qu’une maison vaut deux fois moins cher qu’une caravane. De la même manière croire que le kilowattheure nucléaire est moins cher que le kilowattheure renouvelable est trop gros à avaler au XXI ème siècle après Tchernobyl et Fukushima, même si un bon paquet de gens se sont fait arnaquer et continueront à se faire arnaquer.

De toutes façons, tous les prix, de toutes les énergies fossiles comme nucléaire sont faux et systématiquement sous-estimés et sous-évalués car ils n’intègrent pas les coûts réels (comme les coûts du réchauffement climatique pour le pétrole, le charbon le gaz naturel et le gaz de schiste). Prenons par exemple le prix du litre de gazole et du kérosène par rapport à celui de l’essence (d’ailleurs pourquoi sont-ils venus au litre alors que le pouvoir calorifique s’exprime en MJ/kg et qu’ils devraient logiquement être vendus au kilogramme, en fonction de leur pouvoir calorifique ?). Tous ces prix, fixés par on ne sait trop qui (on se doute quand même un peu que c’est par une minorité influente exerçant des pressions sur les états pour subventionner plus ou moins tel ou tel secteur en fonction de leurs intérêts personnels...), sont complètement artificiels et incompréhensibles par un scientifique. Pour reprendre l’exemple du gazole, il est moins cher alors qu’il produit 42 000 morts par an, autant que le tabac, à cause des particules fines et qu’il va falloir payer les amendes de l’Europe pour non respect de la qualité de l’air en ville (11 millions d’euros et des astreintes journalières de l’ordre de 240 000 euros par jour, jusqu’à ce que la qualité de l’air soit retrouvée, soit près de 100 millions d’euros la première année puis 85 millions d’euros les années suivantes). Par contre, les prix de l’énergie renouvelables sont systématiquement surévalués car ils prennent en compte l’ensemble des coûts et c’est une discrimination à peine voilée.

Ce qu’il faut éviter coûte que coûte c’est la pollution par la fabrication de déchets toxiques et/ou indestructibles. Le mensonge est aussi une forme de pollution idéologique permettant à certains intérêts particuliers de manipuler l’opinion publique. Le prix des énergies en est l’exemple type, il est complètement artificiel, complètement illogique, complètement faux. Le prix est fixé par la loi d’un marché dérégulé et aveugle, la loi de l’offre et de la demande, la loi du plus fort qui privilégie l’intérêt particulier devant l’intérêt général et par un état au service de la dictature de l’argent, des industriels et des banquiers (privés) et des économistes qui travaillent pour eux. Dans ces conditions l’État ne sert plus les intérêts et la santé de son peuple mais des intérêts privés en prenant le risque de tuer la démocratie avec les dérives extrémistes.

Ce ne sont pas les économistes avec leurs faux prix qu’il faut écouter mais les scientifiques à qui on ne peut pas mentir. N’oublions pas que ce n’est pas l’économie qui fait la science mais la science qui fait l’économie et que science sans conscience n’est que ruine de l’âme. Il est temps de mettre en prison et de taxer ceux qui polluent et qui nous mentent en nous incitant à polluer parce que ça coûte moins cher et que ça rapporte plus que de ne pas polluer.

Ça suffit comme ça !

Il est temps d’ouvrir les yeux et de prendre les bonnes décisions pour l’avenir, pour nos enfants, pour préserver la survie de l’humanité sur notre belle et unique planète Terre et pour cela arrêter de nous mentir et de nous mentir à nous-mêmes. Il est grand temps d’être courageux et de regarder les choses en face.

Aux vues des lourdes conséquences du choix irréversible du nucléaire, n’oublions pas que nous engageons notre responsabilité morale et notre culpabilité de s’être laissés berner par de beaux mensonges pour des siècles et des siècles.

E.H.

http://www.transition-energetique.gouv.fr/content/vrai-et-faux-prix-du-kwh SITE EFFACÉ

Emmanuel Hourdequin

Docteur en Physique

Professeur de Physique Chimie

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